Cette formation de haut niveau a aidé aux dirigeants du Groupe INAFRIC de comprendre les principes clés des PPP, l’analyse et le financement des projets, la formalisation des contrats PPP ainsi que la mise en exécution des services d’infrastructures dans les pays émergentes.

La RDC a promulgué la loi N°18/016 du 09 juillet 2018 relative au partenariat public-privé. Cette loi définit le régime juridique applicable aux contrats de partenariat public-privé.

Lesquels contrats concernent la réalisation d’infrastructures publiques majeures à travers des projets complexes financés à long terme par le secteur privé.

 

Plus de 4 ans après sa promulgation, cette loi souffre encore d’application en République Démocratique du Congo près de 4 ans après sa promulgation.

 

Le Groupe INAFRIC, va se rapprocher encore plus du Gouvernement Congolais dans une collaboration des partenariats PPP pour faire bénéficier à l’état de l’expertise des acteurs privés dans différents secteurs, des compétences dans la mises en place des contrats PPP et des financements externes pour réaliser les projets d’intérêt communautaires, sans perturber son enveloppe budgétaire.

 

Vérifié l’authenticité des certificats sur :

https://www.coursera.org/account/accomplishments/certificate/4LYU3K82TNXH

https://www.coursera.org/account/accomplishments/certificate/EDQDR452ZA5F

 

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Lieu & Date : Le 17/05/2022 à Lubumbashi, à l’Hôtel UPEMBA sur l’avenue Kasaï en face de la BCDC

L’Organisation internationale de la francophonie (OIF) est une organisation, personne morale de droit international public, créée en 1970, regroupant 88 États ou gouvernements.

Elle a pour mission de promouvoir la langue française et la diversité culturelle et linguistique, de promouvoir la paix, la démocratie et les droits de l’homme, d’appuyer l’éducation et la recherche et de développer la coopération.

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C’est une décision qui vient couper court aux rumeurs faisant état de la perte par la RDC de 6 millions de dollars utilisés pour l’obtention du quota de pêche de 27300 tonnes de Chinchards dans les eaux namibiennes. Dans une correspondance datée du 15 mars 2022, le ministre namibien de la pêche informe le ministre Congolais de l’économie nationale, Jean Marie KALUMBA YUMA de sa décision de reconduire, pour l’exercice 2022, le quota de pêche obtenu par le gouvernement congolais en Novembre 2021.

«  En vertu des pouvoirs qui me sont conférés par l’article 33 de la loi de 2000 sur les ressources marines, j’accorde , par la présente au gouvernement de la RDC, le droit des récolter à des fins commerciales, les 27300 tonnes métriques non capturés du quota de poissons chinchards pour la période 2022, ceci prenant cours à partir du 7 mars 2022 et expirant le 31 décembre 2022 » , peut-on lire dans la lettre du ministre Derek KLAZEN.

Le document rappelle que le navire qui devra être utilisé pour les opérations de pêche doit tenir compte de la main d’œuvre namibienne qui ne doit pas être inférieure à 55 %.

 » Il est prévu qu’à la fin de la saison de pêche, mon bureau soit informé sur les tonnes métriques de poissons réellement pêchés et le solde, le cas échéant. Le quota garantit que les chinchards doivent être pêchés au plus tard le 31 décembre 2022, car aucune prolongation ne sera accordé. », peut-on encore lire dans la correspondance namibienne.

Pour rappel, face à la résistance des importateurs de ces produits de grande consommation en RDC de respecter les prix concertés avec le gouvernement, ce dernier avait décidé de négocier un quota de pêche des chinchards à mettre à la disposition des opérateurs économiques congolais pour assurer le juste prix de ces produits sur le marché. Mais le processus a été confronté à plusieurs obstacles, notamment le temps pris par le gouvernement pour débloquer les fonds nécessaires ( 6 millions de dollars débloqués en Novembre). Les autres opérations de pêche qui devraient s’en suivre attendent toujours le financement.

La RDC a donc la possibilité de pêcher la totalité de son quota de Chinchards , pourvu que les fonds nécessaires soient débloqués à temps.

Depuis son accession à la tête du ministère de l’économie nationale, Jean-Marie KALUMBA s’est engagé dans le combat pour les justes prix des produits et services afin d’améliorer le pouvoir d’achat des congolais.

Ministère de l’économie

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Le ministre d’État en charge du Plan Christian Mwando Nsimba en sa qualité de président du comité de pilotage du climat des affaires, a réuni aucour d’une séance de travail, les responsables de la FEC et de l’ANAPI le vendredi 28 mai 2021.

Il a été donc question de dresser un tableau sur le climat des affaires en RDC.

A cette occasion, le ministre d’État en charge du Plan et qui a aussi dans prérogatives la question des réformes du climat des affaires en RDC , veut démontré la volonté du chef du gouvernement Sama Lukonde de concrétiser la Vision du président de la République “que la RDC est un Pays propice pour les investisseurs”.

Christian Mwando Nsimba Kabulo, Ministre d’État, ministre du Plan et président du comité de pilotage du climat des affaires, partenariat Public-privé, promotion des investissements et de l’emploi, a écouté et enregistré les doléances des représentants du Patronat congolais dans le but de rendre plus favorable le climat des affaires en RDC, c’est notamment “l’assouplissement des taxes”.

Assisté de son Vice Ministre, le ministre d’État en charge du Plan Christian Mwando veut ainsi  rassuré par ces échanges, ces représentants du secteur privé, de son engagement au nom du gouvernement pour l’amélioration du climat des affaires, afin d’attirer plus les investisseurs étrangers et inciter aussi des investissements domestiques.

“D’où la nécessité de ces échanges dans le cadre du dialogue public privé. Une pratique qui sera régulière” a rassure le ministre d’État en charge du Plan.

Ministère de plan

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Facebook change de nom et devient Meta, avec un nouveau logo

FACEBOOK A SUBI DE NOMBREUSES CRITIQUES

La décision de changer de nom n’a rien d’anodine, et arrive à un moment tendu pour le groupe de Mark Zuckerberg, qui subit des critiques de toutes parts. En octobre, il a d’un côté connu une panne historique de plusieurs heures sur toutes ses apps, tandis que de l’autre, la lanceuse d’alerte Frances Haugen faisait fuiter des dizaines de milliers de documents internes au réseau social Facebook. Dans ces « Facebook Files », on apprenait par exemple que la plateforme avait connaissance depuis longtemps de certaines répercussions négatives de ses algorithmes sur ses utilisateurs, mais aussi sur les processus démocratiques de certains États.

Un changement de nom ne solutionnerait pas immédiatement les soucis d’images de Facebook (il n’y a qu’à voir combien le nom d’Alphabet est moins utilisé que celui de Google, même des années après le changement du géant de la tech), mais lui permettrait peut-être d’esquiver certaines critiques.

Mark Zuckerberg l’assume depuis quelques temps : son objectif est de transformer Facebook en une sorte de « métaverse » géant, un « univers virtuel fictif, dans lequel les individus pourraient évoluer dans des espaces persistants et partagés, en trois dimensions ». Pour le construire, il compte embaucher 10 000 personnes sur les cinq prochaines années.

Une grande partie de la présentation de Mark Zuckerberg a été dédiée à ce fameux métaverse, et la manière dont le patron de Facebook l’envisage. Le PDG a assuré que, selon lui, il s’agirait tout simplement du «  futur de l’internet mobile actuel », bien que cela soit prévu pour « un futur assez lointain », a-t-il concédé.

Selon lui, le métaverse s’articulera autour de certains concepts comme les avatars, la téléportation, les objets virtuels et les interfaces naturelles.

Mark Zuckerberg au cours du Facebook Connect du 28 octobre 2021 // Source : Facebook Live

Dans une vidéo de présentation clairement tournée autour de l’anticipation, on voit notamment une femme « projeter » son avatar à un concert auquel assiste sa meilleure amie, dans la vraie vie

UNE TRANSITION ENTAMÉE IL Y A QUELQUES ANNÉES

En novembre 2019, le groupe Facebook (de son nom à l’époque) avait déjà modifié son logo, qui n’était plus seulement bleu, mais pouvait prendre plusieurs couleurs en fonction de l’application sur laquelle on le trouvait. « Nous mettons à jour notre image de marque pour qu’elle soit plus claire », expliquait à l’époque Antonio Lucio, chef marketing de la multinationale.

Une des nouvelles couleurs de logo que Facebook avait choisie à l’époque de son changement de logo pour le groupe Facebook

À l’origine, le réseau social Facebook s’appelait The Facebook, lorsque Mark Zuckerberg l’a lancé en 2004 avec son colocataire Eduardo Saverin, et avant que Andrew McCollum, Dustin Moskovitz et Chris Hughes les rejoignent dans l’aventure.

Quelques heures avant le début de la conférence, un petit curieux était passé devant les locaux de Facebook et avait vu ce qui ressemblait déjà au logo de Meta, le nouveau nom de l’entreprise anciennement appelée Facebook.

Source Numerama

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Journée defense des travaux de fin de formation 2^èm édition

Ce dimanche 03/10/2021, journée de défense des travaux de fin de formation de la 2^ème édition de formation de la CIFPA – Haut Katanga à Lubumbashi.

La Corporation Internationale de Formation Professionnelle en Afrique (CIFPA) est une institution panafricaine d’éducation spécialisée de la Commission de l’Union Africaine (CUA). Elle travaille en étroite collaboration avec des établissements universitaires, le corps des jeunes volontaires, des centres de recherche en sciences sociales et des organisations culturelles de la société civile. Elle est dirigée par un Coordonnateur qui rend compte au directeur de l’Agence du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique.

Une tendance irrépressible qui change l’avenir de l’emploi

Dans le souci d’améliorer la main d’œuvre de son personnel, Le Groupe INAFRIC a approché la CIFPA pour un partenariat stratégique axé sur le développement de compétence de la main d’œuvre en général et de son personnel en particulier.

A ce effet, l’équipe des Directeurs de INAFRIC dont Monsieur Serge BUSHIRI, Directeur Général INAFRIC HOLDING et Monsieur Cherif AMISI Directeur Général de INAFRIC CONSTRUCTION ET IMMOBILIER ont suivi avec succès la formation en Administration des affaires et ont défendu leurs travaux portant sur les thèmes suivants :

– Gestion d’approvisionnement et distribution des produits de première nécessité à Lubumbashi (Cas de la Farine de froment), Présenté par Monsieur Serge BUSHIRI où il a ressorti une problématique majeur qui est « Le manque d’usine de production de la farine de froment à Lubumbashi et dans ses environs qui cause ainsi une dépendance total de l’importation de ce produit », il s’agit premièrement d’une opportunité d’affaire pour les investisseurs industriels et à cela une bonne gestion d’approvisionnement et distribution devrait garantir la permanence de ce produit sur le marché Lushois afin d’éviter les ruptures de stock aux boulangers.

– Problématique de la faillite des PME nouvellement créées par les jeunes congolais, Cas de la ville de Lubumbashi présenté par Mr Cherif AMISI, qui partant d’une enquête basées sur les questionnaires adressées aux chefs d’entreprises, a pu ressortir les causes des faillites des PME nouvellement créées, ces causes sont notamment : Un manque d’un système de gestion et d’organisation solide, les taxes de l’état que les dirigeants d’entreprises trouvent trop élevé  et a donné quelques suggestions pour remédier à cela.

A la fin des travaux, Monsieur Serge BUSHIRI a accordé une interview aux chaines de Lubumbashi où il a donné un résumé de son parcours dans la formation et les problématiques rencontrées durant la formation, qui sont notamment liés au cadre physique des lieux de formation (Salle, Chaises et bureau)  et demande aux autorités politico administrative de soutenir cette Organisation qui peut élever la RDC à l’échelle Internationale.

Dans les prochains jours sera ainsi organisée la journée de collation où les participants recevront leurs brevets qui leur permettront d’intégrer le milieu professionnel.

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Bakhresa Group « Azam » est l’un des plus grands conglomérats industriels basés en Tanzanie, en Afrique de l’Est, détenue par l’entrepreneur et milliardaire Tanzanien Said Salim Bakhresa. Le groupe détient plus des 20 sociétés sous son égide avec des investissements principalement dans le secteur de l’alimentation et des boissons, de l’emballage, de la logistique et transport, de transport  maritime, du pétrole et du divertissement. Tous ses produits sont distribués sous la marque AZAM et opère en Tanzanie, Zanzibar, au Kenya, en Ouganda, au Malawi, au Mozambique, en Zambie, au Rwanda, au Burundi, au Zimbabwe et en Afrique du Sud.

« AZAM » La marque préférée à LUBUMBASHI

AZAM est la meilleure marque appréciée à Lubumbashi et ses environs sur les produits suivants : la farine de froment, le Jus et boisson.

INAFRIC, Partenaire du Groupe BAKHRESA dans la distribution des produits agroalimentaire à Lubumbashi.

Ce 21 septembre 2021, le Groupe Bakhresa a dépêché ses hauts responsables à Lubumbashi, reçu à chez INAFRIC pour une mission de travail et à l’écoute de ses clients et partenaires pour leurs garantir les produits de meilleure qualité sur le marché Congolais

Très expérimenté dans le “Business Development”, INAFRIC se développe avec les partenariats B to B avec les organisations publiques, privées, nationales et internationales et dévient un acteur incontournable dans le monde des affaires en RDC et Afrique centrale.

INAFRIC bâti une relation de confiance avec ses clients et partenaires où elle s’implique dans une responsabilité intègre pour que tout concorde à la bonne marche des objectifs commerciaux.

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– Gestion des courriers

– Vous assurez les tâches administratives relatives à la bonne tenue des dossiers patients et à l’organisation administrative de l’agence de Nice

– Vous assurez la gestion du stock de matériel médical et mettez à jour les informations partagées.

PROFIL :
– Vous avez une expérience en secrétariat d’au moins 1 an,

– Vous êtes organisé(e), dynamique, disponible et autonome.

**Expérience en milieu médical appréciée**

AVANTAGES :
– Statut Employé : 35h du lundi au vendredi de 9h à 17h ,

– Rémunération mensuelle brute 1 600 €,

– Participation aux bénéfices,

– Mutuelle

– Chèques Déjeuner 9 euros

Type d’emploi : CDI

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C’est enfin la fumée blanche après ce qu’on peut qualifier de dernier round des discussions entre le gouvernement et les importateurs au sujet de la baisse effective des prix des produits surgelés. 48 heures ont suffi aux deux parties pour se mettre d’accord sur les prix à pratiquer sur le marché, en attendant une décision définitive du gouvernement sur le “Juste prix”.

Sur instruction du Premier Ministre SAMA LUKONDE, le ministre de l’Economie Nationale Jean-Marie KALUMBA YUMA qu’accompagnait son collègue du commerce extérieur, Jean-Lucien BUSA (membre du comité de conjoncture économique), a engagé, depuis mercredi 11 août, de nouvelles discussions avec les importateurs des produits surgelés. L’objectif était de comprendre pourquoi les nouveaux prix annoncés depuis la neuvième réunion du conseil des ministres n’étaient toujours pas appliqués sur le marché. En clair le premier ministre voulait que le ministre de l’économie nationale tienne compte des préoccupations des opérateurs économiques par rapport aux réalités dans la réalisation de leurs opérations d’importation.

Après des échanges francs entre les deux parties, un constat s’est dégagé : Les valeurs CIF sur base desquelles les prix ont été calculés ne correspondaient pas à la réalité. Une fraude de la part des importateurs? difficile pour l’instant de répondre à cette question qui devra être examinée entre le ministère de l’économie nationale et les services spécialisés dont la DGDA (Direction générale des douanes et accises). Mais il faut préciser qu’il s’agissait des chiffres réellement déclarés par les importateurs.

Soucieux de trouver un terrain d’entente, toujours dans l’esprit des instructions du chef du gouvernement, Jean-Marie KALUMBA YUMA a demandé aux responsables de principales sociétés importatrices de proposer les prix, en tenant compte de leurs vraies charges.

Après discussions, un procès verbal a été signé par les sociétés importatrices et le gouvernement, impliquant une baisse d’environ 30% par rapports aux prix actuels.

“La population doit retenir que nous avons trouvé un consensus après deux mois de discussions. Son Excellence va communiquer les prix du consensus. Tout s’est bien passé. nous faisons un effort pour approcher le pouvoir d’achat de la population. Cela n’a pas été facile, raison pour laquelle vous avez vu deux réunions qui se sont succédées mais aujourd’hui, nous avons fini par trouver un consensus avec le gouvernement “, a déclaré Donatien Tshimueneka, coordonnateur de la Société SOCIMEX qui parlait au nom des sociétés importatrices des surgelés.

Voici les prix concertés :

• Cuisses de poulet (10Kg): 15.9 USD
• Poulet entier (10 Kg): 15.5 USD
• Côtes de porcs (10Kg): 16.8 USD
• Chinchards : 1.44 USD/Kg Les importateurs des surgelés dont: GFCO, SOCIMEX, AFF, EGAL et SOKIN se sont donc engagé à appliquer la nouvelle tarification en attendant une décision définitive du gouvernement sur les “Prix Justes”

Source Ministère de l’économie nationale

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